C’est
également un fidèle des expositions marseillaises. Il effectue plusieurs
séjours en Italie dont il ramène des scènes de genre : Bergers dans la campagne romaine (1857,
musée de Béziers). Enfin, à partir de 1875, il enseigne le dessin à l’école des
beaux-arts de Marseille durant plus de quarante ans.
Sous
le Second Empire, il apparaît également comme un sculpteur apprécié. L’architecte
Henry Espérandieu (1829-1874) l’emploie au palais Longchamp (Les Génies des Parrocel, des frères Imbert et d’Aubert, 1867) et à l’école des
beaux-arts – bibliothèque (buste d’Auguste
et médaillon de Roland de la Bellaudière,
1870)
Comme statuaire, on lui doit encore les Atlantes de l’hôtel Grau (1864), le buste d’Émile Loubon (1865), le portrait d’Un ami exposé au Salon marseillais de 1877 et un médaillon en bronze de l’Abbé Dassy (1889).
Pour
finir, il fonde le musée de Cassis en 1910 avec son épouse Eugénie Guindon, née
Martin (1836- ?), elle-même artiste peintre.
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